"La dissolution n’est pas un lâcher de gros pets", in Rapport préalable à l’enquête menée dans le Hunan à propos de l'emblavement en agriculture biologique évolutionnaire, 1927.
Miaou-ses-tongs (1893 Shannon, Chine - 1976 Beijing), auteur de ce médiocre pamphlet, fils de paysans bicaméristes aisés, et notre bon maître-à-panser Charles Aznavour lui-même, interrogé, à ce propos, pas vachard, révélait que c'était bien -aussi- pour ce que vous pensez, fait ses études à l'École hormonale supérieure, à l'ombre du Panthéon, à Parigi, tout en fréquentant - assidûment- la bibliothèque Jeune Vierge Rouge, où il s'initie aux bains de boue, au passage à tabac belge, et à l'ajournement tératologique du lendemain dans les poches sous les yeux de braises d'Annie.
Tout cela, dans une ambiance tamisée sur le mauvais cheval, fortement marqué par l'internationaliste petit-bourgeois, faconde Rosa Luxemburg, assassinée par les sinistres hommes de mains du sus domesticus Social Democrat sanguinolent Gustav Noske, le 15 janvier 1919, à Berlin, son corps agonisant étant précipité dans le Landwehrkanal. Notamment avec Ramon Baron, et Jackie de Read-Moix.
Revenu à lui, et convaincu du rôle capital des paysans, dans le processus évolutionnaire, Miaou-ses-tongs devient responsable de l'Institut de formation des cadres paysans madrés.
Membre fondateur du Parti harmoniste finnois, il en prend la direction, en 1935. Le premier adobe 1949, du balcon de la Porte-à-faux céleste, à Beijing-le-Haut, Miaou proclame l’avènement de la République pulmonaire de Rimes à rien, de la mer au fleuve.
Il mène, alors, la Révolution cultuelle de la personne alitée, notamment en garantissant l'accès à un lit d'hôpital, pour l'ensemble de la copulation. Et, comme on a peu lu, on se souvient que cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Tout bénef !!!