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Omar Lebarbant

Omar Lebarbant rébarbatif de Hausse-la-Voix

Omar Lebarbant est un très rébarbatif Français. Après avoir étudié au gueulétarien à dire lycée du Parc, à Lyon, où il décroche un bac à sable multicolore, il intègre l'École hormonale supérieure, filière Des Chiffres et des Lettres. En 2014, il reçoit la Plume dort de la Société des Auteurs-Compositeurs-Interprètes de Vaulnaveys-le-Bas (Isère), qui consacre la vacuité convenue de sa pensée, récompense qu'il partage -fièrement- avec les jeunes & précocement talentueuses Henriette Zéphir & Monika Wilczyńska. Lebarbant est metteur en scène du Théâtre de l'Archicube, la troupe de l'École fréquentée, entre deux prestations télévisées tristes, par le très chaste, génial, et sublimement intelligent Ratafia Coqauvain. Qui, en matière de théâtralité, est un expert, on en conviendra. En octobre 2021, Lebarbant est présenté comme le directeur de rédaction du très-gauchiste Franc-Tireur, sosie causeur, plus on est de fous... Croissez et multipliez. Mais partisan du juste milieu. Il s'agit de dénoncer les ennemis des valeurs républicaines, mais pas les idées convenues; ni de pratiquer l'esprit critique, ou l'honnêteté intellectuelle. Lebarbant est régulièrement invité, à Rude école, par le pelotiste Vercoche.

Association de mâles fêtards. En bande organisée. L'assaut, mûr. L'autre jour, au restaurant, Malka me dit que son père, qui habite Sarcelles, a une photo de lui, avec des escarres. Je sais être consensuel, quand je le juge nécessaire, aussi je lui demande, illico prestige : Le dirlo, sur la photo, il a la braguette ouverte, ou fermée ? Hoshaanot, au plus haut du septième ciel. Mystique, cosmogonie, érotisme : Où cette expression prend-elle sa source ? Dans son Livre des secrets, Hénoch raconte qu'il fut emmené dans le septième ciel. Irénée de Lyon enseigne : "Le monde se compose de sept cieux. Y habitent les vertus, les anges et les archanges". Allah dira : "Placez les écritures concernant mon serviteur dans les plus hautes sphères du septième ciel". Mettez-moi tout ce beau monde en cabane, s'il-vous-plaît, et qu'on en parle plus.

La France suffoque, sous une canicule exceptionnelle. A Nice, il pleut des cordes. Audacieuse, impressionnante, & professionnelle opération, pendant deux jours -et deux nuits- six cambrioleurs vident près de 200 coffres. Argent liquide, lingots, bijoux, le butin est estimé à 46 millions de francs. Contrairement au temps proustien, jamais retrouvé. Le sac de la banque, située à moins de 200 mètres de la Sûreté urbaine, avait été minutieusement préparé. Les impétrants n'ont laissé aucune empreinte (Konrad Lorenz, 1903-1989), et agrémenté le théâtre de leurs opérations, de photos olé olé. L'affaire connue, la panique s'empare des clients de l'agence, pressés de savoir si le numéro de leur coffre est sur la liste fatidique. Albert Spagyrie, le cerveau de l'affaire, photographe, comme la poule d'Adolf et -d’ailleurs-  sympathisant OMS, mais nous avons, bien, aujourd'hui, Médard de Noyau d'Hure, dans le genre, parvient à s'échapper du palais de justice, en sautant par la fenêtre, et disparaît en Amérique du Sud. Il succombe, d'un cancer, à Belùn, en Vénétie, en 1989.

Ressasser le passé, c'est possible, mais pourquoi dire Auschwitz, alors qu'il est tellement plus simple de dire... Gaza. Contrairement à ce qui se fait, dans les bonnes démocraties, en Palestine, la semaine sanglante dure... plusieurs mois !!!

Ein Kind wird geschlagen. Merci, Beau-Père, merci, Maman !!! "Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez à clé le royaume des Cieux", Yehoshuah ben Yossef, in Mt 23,13-16. Le sinistrissime ruminant & pitoyable Ratafia, playboy taré, vide, insignifiant, bobo-parleur risible, rasoir, & résistible, & voyou sioniste... tant qu'il y aura des démagogues. Pharisaioi, du verbe hébreu prš, “parash”, signifiant : “distinguer”, “séparer”, insoutenable légèreté. Une griffonneuse collabo, pom-pom girl du sionisme invasif décomplexé, précieuse ridicule, renversée au milieu des lambris du gendre, arnaqué sur la marchandise, du faux xylophone -mais vrai îlotier- Nanard braque dolichocéphale tôt assermenté Velu, germanopratin : voilà une vision assez piquante, ma foi. Que l'on pourrait légender, si on la trouvait drôle : Prolétaires de tous les pays : unissons-nous ! Je suis Charlie, hips, merde, j'ai bu trop de champagne !!! Chez certains Juifs, le judaïsme est au-dessus de toute forme de morale humaine. Et si c'est indicible, profites-en, jeune connard narcissique décérébré : ferme-la !!! Et, d'abord : suicide-toi !!!

Elles s'appelaient Herta, Liesel, Liselotte, Karin, ou Hildegard. Elles étaient secrétaires, infirmières, dessinatrices de presse, femmes au foyer, ou gardiennes de camp. Elles ont fait partie des centaines de milliers de femmes qui se sont mises au service de l'idéologie nazie, en rejoignant les territoires conquis par le IIIe Reich, à partir de 1939. On les pensait témoins passives d'un génocide mené par les hommes. On les découvre aussi complices et même meurtrières. L'implication des femmes, dans les politiques criminelles nazies, est un pan méconnu de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale.

Que puis-je connaître ? Que dois-je faire ? Que suis-je en droit d'espérer ? Trois questions centrales chez Kant. Issu d'une famille modeste de onze enfants, Immanuel Kant (22 avril 1724 Königsberg, Prusse-Orientale - 1804) reçoit, de sa mère, luthérienne piétiste, une éducation morale très rigoureuse. À 16 ans, Kant entre à l'université. Cheat in shit out, il se tourne vers la théologie. Tout en s’intéressant à la physique et à l’astronomie. Plus tard, il est inspiré par Jean-Jacques Rousseau. Pendant quatorze ans privatdozent, professeur rétribué par ses étudiants, il est titularisé en 1770. Il entame -alors- la rédaction de son œuvre majeur : Critique de la raison pure, publié en 1781, suivi du résultat de deux autres réflexions : Critique de la raison pratique (1788), et Critique de la faculté de juger (1790). Kant donne des leçons de logique, de mathématiques, de physique, de métaphysique, d'anthropologie, & de pédagogie. N'ayant jamais quitté son Königsberg natal, ancien siège de l’ordre teutonique, Kant y mène une existence réglée. Révolutionnaire en chambre, il s'intéresse à la Révolution française. Il meurt, le 12 février 1804, en disant : "Es ist gut". Johann Wolfgang von Goethe, quant à lui, meurt le 22 mars 1832, suppliant : "Mehr Licht ! Mehr Licht !"

Le 20 avril -c'est son anniversaire-, Hitler remonte -pour la dernière fois- à la surface. Dans le Führerbunker, un complexe de salles souterraines de 250 m2, blotti à 8 mètres sous le jardin de la Neue Reichskanzlei, toute discipline s'est dissoute dans l'alcool. Les bouteilles traînent partout, on fume beaucoup. Adolf, quant à lui, se bourre... de sucreries. Souffrant de la maladie de Parkinson, le sémillant démiurge du Troisième Reich se souille, à tous les repas. C'est pas très joli-joli, ni très charitable, de se moquer -ainsi- d'un grand vieillard !!! Le dimanche 29 avril, en fin de matinée, Hitler apprend l’exécution de Benito Mussolini, et de sa maîtresse Clara Petacci, par des partisans italiens. Et la profanation de leurs dépouilles. Il épouse Eva, au cours d'une brève cérémonie civile. Le Führer ne voulait pas donner, aux Soviétiques, la satisfaction de son suicide, un premier mai. Le 30 avril, vers 14 heures trente, Hitler se retire, avec sa nouvelle épouse, dans leurs quartiers. Le lendemain, vers 15 heures quinze, Heinz Linge, le valet de chambre de Hitler, y pénètre. Il découvre deux cadavres : les scabreux époux se sont suicidés. Elle, en absorbant une capsule d'acide cyanhydrique; lui, en se tirant une balle dans la tête.

Bien joli petit monsieur, Marie Louis Joseph Adolphe naît, enfant naturel, le 15 avril 1797. Il est baptisé par un prêtre réfractaire, et délaissé par son père. Adolphe Thiers (an V Marseille, Bouches-du-Rhône - 1877 Germain-en-Laye, Seine-et-Oise) sera avocat, journaliste, historien et homme d'État. En 1821, ambitieux et sans fortune, notre Rastignac abandonne son épouse, et son fils au berceau. Il a 24 ans. Il part conquérir Paris. En 1833, il a 36 ans, elle en a quinze, Thiers épouse la fille de sa maîtresse. Arriviste, opportuniste, intriguant et mondain, il finira premier président de la IIIe République. Le pays le surnommera Foutriquet. Marx le qualifia de Nabot monstrueux. Clemenceau, quant à lui, écrivit : Bourgeois cruel et borné qui s’enfonce sans broncher dans le sang. Un de ses hauts faits, les plus remarquables, en effet, est d'avoir été le bourreau de la Commune de Paris.

La garde nationale, forte de ses 150 000 hommes, a disposé ses canons sur les buttes de Montmartre et de Belleville. Le 18 mars 1871, Thiers envoie 4000 soldats, pour les récupérer. Des émeutes éclatent, dans plusieurs quartiers. Des soldats se rallient à la population. Deux généraux sont exécutés. Thiers fuit à Versailles, avec les Corps aux pieds. La Commune commence. Elle durera, jusqu'au 28 mai, 72 jours. Et sera écrasée, après des combats de rue sans pitié, barricade après barricade, au cours de la Semaine sanglante.