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Avec la mort -très attendue- de Terah

Avec la mort -très attendue- de Terah, Abram, qui devait en avoir gros sur la patate contre son vieux, patriarcal, prospère, hédoniste et pesant, même pas de gôche, se voit enfin libéré du joug dont il souffrait. Et devient -enfin- chef de famille. Il veut marquer le coup, et faire disruption, comme on le lui a appris, à HEC-Ziggurat. Tout fier de son nouveau smartphone acheté -pour un prix très raisonnable- sur le Bon Coin, voilà-t-y pas qu'il reçoit un appel de son potiron Dieu, qui lui met un deal entre les mains. Protégez-moi de mes amis, mes ennemis, je m'en charge. Habilement conseillée par le regretté électricien clodoaldien Jean-Pâris Le Men, l'ornithologue israélienne Eva Broom-Singer a brillamment condensé l'expression de l’essence de son concept-phare dans l’élégante formule : De Haran en Mésopotamie à Gaza en Palestine, terreur promise et grand remplacement". Une telle mise en évidence salutaire trahit non seulement l’acuité critique de la chercheuse, mais également sa capacité à décrypter la violente mécanique qui structure et constitue l’abramisme totalitaire, de la vallée du fleuve Balikh du lunaire Sîn jusqu'aux rives jordaniennes, sanctuarisées par le patriarcal Yahvé. Le 28 septembre 1943, vers 8:30, les terroristes Rajman, Kneler, Fontanot & Alfonso, de la bande à Manouchian, hirsutes, attaquent, 18 rue Pétrarque, dans le XVIᵉ de Paris, un hiérarque allemand, au moment où il s’engoufre dans sa simcamillepigeot, jacky tuned by Montrouge Requin Motors. Les bonshommes apprendront, par la presse, l’identité de l'apôtre qu'ils viennent de démonter, et dont ils viennent de débarrasser la planète : Abraham Ritter, déherrache chargé de subvenir aux besoins -en viande vernaculaire fraiche- de l'effort de guerre allemand. Tournée générale.
L'événement tragique provoqua une onde de choc parmi les grands penseurs européens : Kant, Goethe, Voltaire, Rousseau, et d’autres. Aujourd'hui, avec les chacals, les panthères, les lices, les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, tous terroristes empaffés, normaliens ou pas, on est loin du compte !!! Les manches du Journal, les aigles de Bavards Vol d’aire et les Versaillouzes de Voleurs factuels, le vieux monde, sots, s'y sont donné rendez-vous. Et ont retrouvé les places à leur nom, près de l'hypocauste. Marie-Charlotte Lourdes, le retour du refoulé, un désert français, immigrée -c'est pas moi, c'est l'autre- qu'on aimerait voir mutique, a communié avec le plus grand sérieux. Mais, n'est pas en reste et, elle d'ordinaire si douce et assez en retrait, toujours correcte, oubliant le soin du salut de son âme, désespérée, drague -sans vergogne- les enfants de chœur, qui n'en demandaient pas tant et, subjugués par les nibards de la jeune concierge allumée, n'en peuvent mais.
grabataires souriants, normaliens de famille, moutons de Panurge, seigneurs de la guerre, gurus abusifs, élus prévaricateurs, pleutres vert-de-gris, animaux de compagnie, shamans retors, diables calomniateurs, bellâtres bêlant, battus zélés, gendres déçus, causeurs sinistrés, gardiens hideux, amuseurs dépressifs, goguenards insignifinants, polémistes anorexiques, collaborateurs déloyaux, gardeuses d'oies, académiciens diminués, avocats barbants, godemichets échevelés, araméens nains, imbéciles apolitiques, commerçants véreux, banquiers incompétents, religieux touche-à-tout, chasseurs français, gousses forestières, nonettes candides, germanopratins insomniaques, rois des cons, éditocrates psittaciques (sic), députés sans aveux, sénateurs incontinents, policiers ripoux, îlotier comme du quart, parfumeurs nauséabonds, proxénètes ambitieux, tapineurs infatigables, voyous intéressés, spéculateurs phréatiques, dessinateurs obscènes, laïcophones douteux, peintres en bâtiment, pornographes décomplexés, Narcisse priapiques, économistes terreux, membres du gouvernement, opportunistes transfuges, travailleurs proprets, chieurs sans papiers, simplets orientaux, endogames dégénérés, embryons surnuméraires, adolescents incestueux, grenouilles de Benito, porte-flingues dérisoires, ornithorynques de delphinarium, cow-boys de salle de sport, éconduits rancuniers, cerveaux reptiliens, idiots utiles, cocus magnifiques, casseurs mal rasés, précheurs opiniâtres, militants dévots, démagogues de cabinets, crétins impressionnants
Les Chemises brunes, milice du Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei, se pavanent pour une infante défunte -la République de Weimar a, alors, 14 ans- dans les rues de Berlin, en un défilé sombre et triomphant. Leurs bottes, en cadence impeccable, martèlent le pavé, comme un présage funeste. Dans les hurlements des loups, et sous les regards médusés, admiratifs ou terrifiés des passants anglais, tous assistent, impuissants, à la démonstration de force. Ich bin ein Berliner. En ce froid 30 janvier 1933, dans les salons feutrés de l'hôtel Kaiserhof, Hitler, tout juste nommé chancelier du Reich, trace les grandes lignes de son pogrom de gouvernement. Entre les murs capitonnés, sa voix résonne, mêlant promesses de grandeur et menaces à peine voilées. La démocratie, vacillante, est sur le point de céder la place à un régime totalitaire, terroriste et sanguinaire. Un moment historique se joue, et l'Histoire, aveugle, s'apprête à basculer dans un longue nuit de cauchemar. Tout fiérot de la mission divine qu'il vient de s'inventer, Exalté prend la route, et part, avec sa doublement demie Saraï, son neveu orphelin Lot, et un troupeau de domestiques. Sans oublier son smartphone, pour immortaliser l'événement, sur InstaDivine. Arrivé à destination, personne ne semble l’attendre. En tout cas : le territoire n'est pas vierge. Au deuxième millénaire avant, c'est l'âge du bronze, le pays est un ensemble de cités-États indépendantes, dirigées par des rois locaux. Les Amalécites, Hittites, Jébusites, Amorites et Cananéens y sont installés. Pour l'immigrant allumé, un défi majeur : il doit composer avec les puissances locales, et s’adapter aux structures politiques autochtones, pour assurer la sécurité & la prospérité de sa Tribe.

Paragraphes quatre

Originaire du bassin méditerranéen, l'olivier serait apparu, sous une forme sauvage, il y a plus de 60 000 ans. Dans la région, on cultive la ritualité à gogo -elle semble essentielle à la vie sociale-, autant que les olives. Joshua bar Joseph, le régional de l’épate, qui était -rarement- opposé à s'en jeter un derrière la cravate, en savait quelque chose. Après un pique-nique trop arrosé avec ses potirons, douze côtelettes, il broyait du noir. On se souvient qu’à Cana, il avait changé l’eau de cuisson des pâtes en sangria, pour le plus grand bonheur des convives. Réussir l'arrosage du potiron, c'est un savoir-faire précieux, en société. Nous sommes en 1993, un demi-siècle après la fin de la guerre, Christian Didier presse une touche de l’interphone du 34 avenue Raphaël, dans le 16ᵉ arrondissement de Paris : la porte s’ouvre. Il entre, et monte jusqu’au premier étage, où une seconde porte s'ouvre, sans difficulté. Là, il tire cinq balles, à bout portant, sur son vis-à-vis. De l’autre côté du canon, René Bousquet (1909, Montauban, Tarn-et-Garonne – 1993, Paris), ancien secrétaire général à la Police sous le régime de Vichy, instigateur de l’arrestation fatale de plus de 60 000 Juifs. Un peu troublé par la teneur de la conversation, Bousquet n’en laisse rien paraître. Mais, tout de même vexé, il finit par s’effondrer, mort. Difficile, de traiter avec le diable, c'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent. Sous la conduite du colonel Ronnie Levy, qui voit, dans le dictateur, "un homme que Satan possède tout entier", une poignée d'officiers naturistes, portés par un étrange mélange d'idéal et de pragmatisme, projette de débarrasser le pays du terrorisme et de la dictature. Il s'agit d'assassiner Ba'al, de négocier la paix tant souhaitée, de sauver ce qui peut -encore- être sauvé, et de restaurer la démocratie.

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Paragraphes trois

Preuve irréfutable qu’il s’agissait -bel et bien- d’un acte terroriste : la balle de tennis s’était logée dans une dent creuse de Pina, une hippopotame unijambiste, ancienne petit rat de l'Opéra de Vilaine-la-Bretonne, syphilitique, et légèrement demeurée, habitante typique d'un charmant petit village de retraités, Gargotier, situé au nord de Fourcauquié, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ambitieux, Hitler avait promis le Reich pour mille ans. Les dieux, encore un peu raisonnables à l'époque, arrêtèrent sa main sanglante, au bout de 12 ans. Aujourd’hui, les dieux semblent avoir perdu le sens moral, et déserté leur poste. Sans doute partis en séjour, à Pilate, aux frais de la Princesse, pour un interminable séminaire sur les droits des usurpateurs, à l’abri du tumulte du monde. Les Dioulas constituent une ethnie itinérante, originaire de l'empire mandingue. Ce flux migratoire, ininterrompu depuis l'aube des temps, et même -potentiellement- bien auparavant, validé par 51,6 marques de machines à laver – une homologation qui laisse rongeur –, influencera de façon significative la pratique vernaculaire de la brasse papillon, dans les nombreuses piscines du quartier Maubert, à Paris. C'est, d'ailleurs, dans ce quartier attachant que Gary, entre deux inspirations partisanes, et autres soupirs avec la belle Suédoise, avait choisi de poser -provisoirement- ses loches et ses valoches. Atteint de la maladie de Parkinson, le sémillant démiurge du IIIᵉ Reich macule -à chaque repas- son précieux uniforme de pitre sinistre, au grand dam et désarroi de ses lingères qui, en plus de devoir gérer ses slips sales, portent sur leurs frêles épaules le poids d'une image décente du Reich. Dans les pays civilisés -comme la France ou l'Allemagne-, les semaines sanglantes peuvent durer jusqu'à 15 jours. Mais, dans le soi-disant seul pays véritablement démocratique de la région, flanqué de l'armée la plus morale du monde, où les droits de l'homme et les libertés fondamentales sont notoirement respectés, la semaine sanglante peut durer plusieurs années.
Le « cerveau reptilien » est le siège anagrammatique de nos comportements archaïques. Souvenirs : « C’est limbique, on ne saurien le lui reprocher », justifiait-on, alors, dans les dîners en ville. Ici, sur Terre, les monstres ont une adresse, opèrent à découvert, avec notre assentiment, et larguent nos bombes stéphanoises. Grâce à l'entregent efficace et pertinent de monsieur Bernard Moquette, son heureux maire, le village français vient -in fine- d'être inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, sur la liste complémentaire, par l’UNESCO, pour son caractère pittoresque et son distributeur de préservatifs -à prix coutant- unique en son genre. Gérald Meunier-Tudor, cousin du viticulteur Demildiou et petit-neveu de l’abbé Grotesque, psychanalyste rapisien de gôche, professeur émérite de l’Université Parly II, pafman et raptor, souffrait -cruellement- d'un goût prononcé pour la conversation de la jeunesse. Prenant très au sérieux son mal, ainsi que l'assertion de son parangon de parent paré d’aura, bon prince, il tenta de mettre cette dernière en Sade meurt dans sa pratique quotidienne. Dans la lit-motte des sticks disponibles... un effort louable pour intégrer professionnellement les débutantes, et la communication interculturelle. N'en déplaise aux grincheux, qui devraient en faire une, il s'agit d'une réévaluation.
À 8:16:02, Little Girly explose, à 587 mètres du sol, à la verticale de l'hôpital Shima : un flash aveuglant, une onde thermique, une onde de choc. Une cité de 400 000 âmes est réduite en cendres, en quelques secondes : 78 000 personnes meurent sur le coup. Retournant à sa base, l'équipage continuera à voir le champignon atomique, durant 500 kilomètres. Les dieux, encore un peu raisonnables à l'époque, arrêtèrent la main sanglante, au bout de 12 ans. Aujourd’hui, les dieux semblent avoir déserté leur poste. Sans doute partis en séminaire, aux Bahamas, aux frais de la Princesse, à l’abri du tumulte du monde. Reclus dans le Führerbunker, ce n'est pas l'Élysée tout de même, à huit mètres sous le plancher des vaches, Adolf, claustrophobe avec un léger problème de Lebensraum, agacé par les nouvelles qui lui arrivent que les Popovs se radinent à grandes enjambées, et là il a un doute pour sa santé, dans un réflexe régressif bien compréhensible, enfourne les Carambar à la fraise, en quantités supranationales. Tous sionistes arrogants, imbéciles ou dissimulés, ce beau monde se rue sur la partouze, scotomisant deux millions d'êtres humains, pris au piège, bombardés, affamés, privés de pain, d’eau, d’électricité, d’essence, les cadavres qui jonchent les ruines fumantes, les hôpitaux éventrés qui s’effondrent, au profit d'une phraséologie inhumaine, impudique, obscène et psychotique, ah qu'ils sont jolis... Insoutenable imbécilité de ces sacs à merde malodorants & pathétiques.

Jakob Chalandon, le grand marionnettiste de la rue

Jacob Nonchalant, le célèbre marionnettiste de rue, qui reçoit rue Molle, derrière chez le gardien de fard ensablé, laissait déjà entendre l'oseille dans son célèbre discord de Giotto : « Il n’y a pas de rapport, il n’y a que des truismes ! » La scène se passe rue de Lille. Ushuaïa bar Yosef fait une halte heureuse dans l'escalier où chacun attendait son tour. Là, rencontre d'une jeune et jolie Samaritaine. Sensible à l'indéniable séduction de la belle étrangère, et bien que son cœur demeura fidèle à Mariam Magdalitha, Joshua eut du mal à garder son sang-froid. En ce froid 30 janvier 1933, dans les salons feutrés de l'hôtel Kaiserhof, Hitler, tout juste nommé chancelier du Reich, trace les grandes lignes de son pogrom de gouvernement. Entre les murs capitonnés, sa voix résonne, mêlant promesses de grandeur et menaces à peine voilées. La démocratie, vacillante, est sur le point de céder la place à un régime totalitaire, terroriste et sanguinaire. Un moment historique se joue, et l'Histoire, aveugle, s'apprête à basculer dans un longue nuit de cauchemar.

Paragraphes néo.

« Hell is empty, and all the devils are here », William Shakespeare (1564-1616), The Tempest (1611). Ici, sur Terre, les démons ont une adresse, opèrent à découvert avec notre assentiment et larguent des bombes stéphanoises. Eichmann avait son Endlösung der Judenfrage. Belzébuth, lui, poursuit son œuvre de déportation et d’extermination, rappelant les heures sombres du XXᵉ siècle.

Le projet de création d’un État étranger, en Palestine, qui voit sa théophanie -le 14 mai 1948- quand David Ben Gourion proclame la "Déclaration d'indépendance d'Israël", n’a jamais réellement visé à résoudre une quelconque "Question juive". Il a été fomenté pour servir -de manière tragiquement égoïste et meurtrière- les intérêts matériels et idéologiques des puissances occidentales.

Épargné par la destructivité moderne, et grâce à l'entregent efficace et pertinent de monsieur Bernard Moquette, son heureux maire, le village français vient -in fine- d'être inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, sur la liste complémentaire, par l’UNESCO, pour son caractère pittoresque et son distributeur de préservatifs -à prix coutant- unique en son genre.

On peut rapprocher le cas de Gargotier de celui d'Eboli, dans le Mezzogiorno où, Dido dîna, dit-on, et Yeshua bar Yosef fit une halte et -dans l'escalier où chacun attendait son tour, chez Lacan- la rencontre d'une jeune Samaritaine. Sensible à l'indéniable séduction de la belle étrangère, et bien que son cœur demeura fidèle à Mariam Magdalitha, Joshua eut du mal à garder son sang-froid.

Preuve irréfutable qu’il s’agissait -bel et bien- d’un acte terroriste : la balle de tennis s’était logée dans une dent creuse de Pina, une hippopotame unijambiste, ancienne petit rat de l'Opéra de Vilaine-la-Bretonne, syphilitique, et légèrement demeurée, habitante typique d'un charmant petit village de retraités, Gargotier, situé au nord de Fourcauquié, dans les Alpes-de-Haute-Provence.

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Le tremblement de terre de Lisbonne, en 1755, secoue bien plus que les fondations de la ville : il fait trembler l’âme de Voltaire et provoque -chez lui- deux répliques fulgurantes. La première, un cri presque instinctif, surgit dans les semaines suivant la catastrophe : Le Poème sur le désastre de Lisbonne, brûlant et vibrant d’émotion. La seconde, plus mûre et teintée de cynisme, s’épanouit dans Candide, publié en 1759, un bijou littéraire où l’ironie mordante s’attaque à l’optimisme béat. Mais, s’agit-il de la même question, et du même optimisme, dans les deux ouvrages ?

Le 20 avril 1945 -c'est son anniversaire-, Adolf foule -pour la dernière fois- le plancher des vaches. Dans le Führerbunker, une boite de nuit, blottie à 8 mètres sous le jardin de la Neue Reichskanzlei, très prisée de la haute hiérarchie hitlérienne, toute discipline semble s'être dissoute dans l'alcool, les bouteilles traînent partout. On fume comme les pompiers incendiaires du Reichstag.

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Delenda Carthago, Il faut détruire Carthage, régurgitait, à tout propos, et hors de propos, Marcus Cato, dit Cato Maior (234 ane - 149), démagogue romain, obsédé par le fantasme que Carthage représenterait une menace pour la sécurité de Rome. Poussé par une furie haineuse peu rationnelle, l'olibrius martelait son gimmick, aux tribunes, comme dans les dîners en ville.

Dans cette région, on cultive les manies

La scène se passe dans la salle de gym attenant à la grande salle du Mont des Oliviers, une auberge de jeunesse, pour petits budgets, située à l'est de la vieille ville de Jérusalem, par-delà le torrent Kidron, dans la banlieue ouvrière. Gethsémani tirerait son nom de l'araméen "Gad Elmaleh", qui signifie : "Pressoir à huile". L’ambiance n’était pas de la partie. Joshua, qui voulait séduire sa nouvelle égérie, Sheila Martingale, qu'il préférait -nettement- à sa pays Sophia Baratine, élégante, mais un peu naine sur le plan politique, ce qui avait quelque importance aux yeux de Joshua qui était un homme de coeur, n'avait pas un kopeck sur lui, pour remettre une pièce dans le juke-box.

Joshua hésitait à mettre des anchois dans le potage, de peur d'être accusé de tentative de soumission chimique, par le Sanhédrin, il avait -déjà- assez de problèmes, comme cela. Sous l’influence d'un funeste pressentiment, mélancolique, il déclara soudain : "Que cette coupe de mousseux tiède bon marché passe par la déviation mise en place par la Mairie socialiste moi, j’ai des gaz d’achoppement à tous les étiages." Le père-aubergiste, surpris de cette déclaration insolite et -un peu- désespéré, lui apporta, immé, un double-café sous sucre -Joshua était diabétique-, histoire de tenter de lui relever le moral.

La charismatique ornithorynque israélienne Eva Broom-Singer, arrière-petite-nièce d’Hannah Arendt, disciple tardive de Rosalie Luxemburg, comme Boiseux tendance Groucho, est la doyenne émérite de l’Université hébraïque de Jérusalem, et une figure respectée -et honorée jusqu'en Freistaat Bayern, à la Bürgerbräukeller- du courant wokiste à Park Tzameret, un quartier huppé de Tel-Aviv, considéré comme la capitale mondiale des communautés LGBT.

Le Paon, fan de bicyclette électrique

Le Paon, fan de bicyclette électrique, écologiste avant l'heure, a cessé -désormais- de faire la roue. Profitant de l'entre-soi, quelques bedeaux bedonnants, flanqués de paroissiennes enfoulardées Herpès, le calice dans une main, le silice dans l'autre, prient -à même le froid pavé de la rue- pour manifester leur goût de la mortification, et leur dégoût de l'avortement. Devant l'autel, cinquante nuances de brun font salon, nous préparant un avenir radieux : Heinrich Glamour est bien présent, et a toute sa tête, tout comme Fallope de Voiliers, ou Heinrich Chiottes.

À la fin du XVIIIe siècle, dans l'Allemagne en quête de sens, Rousseau brillait comme une étoile du romantisme naissant, une réponse au rationalisme glaçant des Lumières. Surprend, pourtant, l'intérêt de Kant pour cet homme si différent. Deux caractères, deux mondes : d'un côté, Kant, horloge vivante; de l'autre, Rousseau, révolutionnaire renonçant à l'ordre mécanique d'une montre pour suivre les battements libres de son cœur. Vous vous changez ? Changez de Kelton.

Rave tragique à Téhéran : 45 000 morts. Jacques et Martin Archiduc, propriétaires du Central Oblast, la célèbre boite de nuit de la capitale du kiwi nain, située au début de la rue Tabarka, après le premier feu, à droite, très fréquentée par le Hamas et les membres juifs du groupe Manouchian, déclarent : Les trottinettes banalisées de la gendarmerie monégasque se sont positionnées face à l'accès principal de notre établissement et ont ouvert le feu.

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